
Nous partons de la côte amalfitaine, le versant sud de la péninsule de Sorente. Là où Ulysse a donné des boules quiès à ses marins et s’est attaché au mat pour ne pas succomber au chant des sirènes. C’était au large de Positano, village accroché au-dessus des flots, à flanc de rocher. Heureusement, aujourd’hui, il y a le GPS, peu sensible aux vocalises, seraient-elles mythiques. Et si l’on meurt ici ? « Le jour du Jugement, pour les Amalfitains qui iront au paradis, sera un jour comme les autres ». C’est Renato Fuccino, un écrivain italien qui l’a dit en 1878.
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